Création février 2012 au Fanal – Scène nationale de Saint-Nazaire
Le 7 Octobre 1955, à la Six Gallery de San Francisco s’organise une soirée de performances poétiques -« jamming »- auxquelles participe une bande de poètes encore méconnus dont certains se sont rencontrés à New York, d’autres à San Fransisco : Gary Snydern, Philipp Lamantia, Kenneth Rexroth et enfin Jack Kerouac et surtout Allen Ginsberg qui lit, déclame, psalmodie pour la première fois son poème HOWL. C’est l’évènement de la soirée. La découverte de la poésie comme acte oral définitif.
HOWL, c’est quoi ? C’est le poème d’un fou déchaîné, une lamentation jazzée, un chant hypnotique, un cri de défi frénétique lancé à l’Amérique matérialiste.
Voilà la naissance du mouvement de la Beat Generation qui ébranle la société américaine dans ses certitudes, ses formats, ses conventions. HOWL en devient l’étendard. Œuvre phare d’un mouvement radical et joyeux de créativité vigoureuse et libertaire.
La Beat Generation, c’est une génération foutue, vagabonde, inspirée de la génération perdue, “beated”, mais c’est aussi un “être à vivre, le tempo à garder, le battement du cœur “, un rythme général, celui des pagayeurs, des batteries, des voyageurs clandestins au bord des trains.
Nous (The band), on voudrait refaire entendre ces voix vibrantes, ces voix hilares, ces voix libres, non matérialistes, non conformistes, non bourgeoises, et tellement vivantes.
> Informations complémentaires
66 Gallery, sur les traces de Howl d’Allen Ginsberg
Le 7 Octobre 1955, à la Six Gallery de San Francisco s’organise une soirée de performances poétiques -« jamming »- auxquelles participe une bande de poètes encore méconnus dont certains se sont rencontrés à New York, d’autres à San Fransisco : Gary Snydern, Philipp Lamantia, Kenneth Rexroth et enfin Jack Kerouac et surtout Allen Ginsberg qui lit, déclame, psalmodie pour la première fois son poème HOWL. C’est l’évènement de la soirée. La découverte de la poésie comme acte oral définitif.
HOWL, c’est quoi ? C’est le poème d’un fou déchaîné, une lamentation jazzée, un chant hypnotique, un cri de défi frénétique lancé à l’Amérique matérialiste.
Voilà la naissance du mouvement de la Beat Generation qui ébranle la société américaine dans ses certitudes, ses formats, ses conventions. HOWL en devient l’étendard. Œuvre phare d’un mouvement radical et joyeux de créativité vigoureuse et libertaire.
La Beat Generation, c’est une génération foutue, vagabonde, inspirée de la génération perdue, “beated”, mais c’est aussi un “être à vivre, le tempo à garder, le battement du cœur “, un rythme général, celui des pagayeurs, des batteries, des voyageurs clandestins au bord des trains.
Nous (The band), on voudrait refaire entendre ces voix vibrantes, ces voix hilares, ces voix libres, non matérialistes, non conformistes, non bourgeoises, et tellement vivantes.
> Informations complémentaires